Petite histoire bien sympatique...

Puisque vous vous battez pour ecrire de plus en plus vite, j'ai decidé de publier ma petite histoire. Parfois j'attrape mon calpin et gribouille des dessins et puis parfois j'y ecris des petits textes de merde. J'ai le regret de vous annoncer qu'aujourd'hui je n'avais pas l'ame d'un peintre.

Mon texte est donc livré à lui meme puisque je refuse toutes inculpations me concernant. (Sauf si bien sur les arguments sont positifs, restons serieux.)
Et comme on en est aux confidences je dois vous prevenir, je n'aime pas les gens, je trouve ça repugnant... (faute de mieux.)

Donc vivons heureux en attendant la mort, comme dirait un certain connard.

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Angela n'avait plus rien à perdre. C'etait fini.

Commençons par le debut. Angela c'est cette petite jeune femme sure d'elle, persuadée d'avoir tout compris de la vie à seulement 17 ans. Vous savez, cette fille que tout le monde regarde de travers tant elle est desagreable envers vous.
Elle a tout. Quand elle desire une chose, sa famille le lui donne. Elle decouvre alors le verbe aimer et fait ses caprices pour avoir celui qu'elle a dans le colimateur. Mais là, chose impossible, l'amour ne se sert pas sur un plateau.

Induite en erreur, tirer par les ficelles de la societé, elle reagit comme toutes les jeunes filles de son entourage, elle s'auto-persuade que l'homme qu'il lui faut c'est lui, Quentin. Le plus gros balourd de sa vie. L'imbecilité à l'etat brut.
Si le con universel avait tenté d'enfiler un pantalon en pensant mettre un t-shirt, Quentin n'aurait pas fait mieux, surement l'inverse. Imaginez quelques instants cela avec quelqu'un de votre entourage juste pour le plaisir de votre cerveau.

Bref, Angela etait trop impulsive pour prendre le temps de se remettre en question, elle ecouta ses amies et se jeta tete baissée dans la gueule du loup. Ou le piege à con, chacun est libre de choisir après tout.
Il n'a fallut que peu de temps pour qu'elle realise combien elle s'etait trompée, du moins sur le jeune homme. Les conseils etaient bons et sa reflexion l'etait aussi.

Regle n°1 : J'ai toujours raison. Regle n°2 : Je sais parfaitement choisir mes amis donc je leur fais entierement confiance. Regle n°3 : Mes amis ont ainsi toujours raison. On pourrait facilement ajouter la quatrieme regle, je suis un pantin et je le vaux bien.

Je vous entends d'ici, "Cette fille n'a pas d'amis et ça ne m'etonne pas !", ''Elle est vraiment conne celle là !".... et bien d'autres aimabilités non censurées à mon egard. Mais, sincerement, en combien d'amis avez vous veritablement confiance ? Pensez vous quelques fois à rester seul pour vous posez les bonnes questions ?

On dit que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Moi ce qui me blesse c'est de savoir que des tas d'Angela vivent des erreurs et sont incapables d'en tirer des leçons parce qu'on ne leur a jamais appris le vrai sens du mot vie.
Notre epoque est bien malade, contaminée par un virus invisible, celui de l'inconscience.

Angela continue de vivre, de grandir, traversant la vie en repetant en boucle la meme erreur, de façon plus ou moins prononcée, sans se soucier de quoi que ce soit. Meme les actes les plus graves ne l'atteignent plus. Elle vit dans l'ignorence la plus totale, un milion de moutons pourrait penetrer chez elle sous pretexte qu'il n'y a pas assez de place dans le jardin.

Elle n'a plus rien à perdre, c'est fini.

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A vous les studios. (cf derriere vos ecrans, pour les plus ignares d'entre vous, haha !)

J'ai toujours une pelle dans mon coffre, et je me sens l'âme charitable. Je veux bien l'enterrer dans le jardin, elle souffrira moins la pauvre bête...

Mais non voyons, j'ai dit qu'il n'y avait pas de place dans le jardin pour les bêtes. Mais c'est fort généreux de ta part d’abréger ses souffrances !